« L’avocat est celui qui appelle les juges à « un peu plus d’humanité que d’ordinaire » Maître Sylvain PONT, pénaliste français, qui a prêté serment en 1993 collaborera un temps avec un grand spécialiste, Maître Pierre PASQUINI avant de s’installer à son compte, en 1996 au 25 rue Pertinax à Nice. Cet avocat porte depuis toujours un grand intérêt pour la matière humaine et spirituelle : « Je pratique avec grand plaisir le droit des affaires, le droit de la famille (en particulier le «droit de la séparation»), le droit des successions ou celui des Etrangers. Mais je suis avant tout passionné par le droit pénal, la psychologie et la criminologie, en fait par toute cette réflexion au quotidien sur la vérité et la recherche de ce qui est juste et équitable ».Pour lui, l’avocat pénaliste est au cœur de tous les extrêmes. Une approche particulière des dossiers et une attitude très « combative » s’imposent donc au quotidien lorsque la liberté et l’honneur du justiciable sont en jeu. « Il faut y croire et se battre, notre responsabilité est de porter la parole du client, qu’il soit accusé ou victime » affirme Sylvain Pont. A part des affaires criminelles récentes et troublantes sur Genève qu’il a eues à traiter, l’affaire française très médiatique dite de « Sospel », dans laquelle un enfant, Todor, avait été blessé mortellement par un policier (1997) est celle qui l’aura pour l’instant le plus marqué professionnellement. Pour cet avocat : « L’homme ne saurait se réduire aux actes qu’il pose. A nous d’essayer de réintégrer l’acte dans le parcours de la personne mise en cause ou victime. L’avocat est souvent le dernier espoir du justiciable en particulier en cas d’erreur judiciaire alléguée. Ce « mendiant d’honneur » plaide alors le doute ou appelle tout simplement les juges à un peu plus d’humanité que d’ordinaire ». Pour en savoir plus, cliquer sur l’article » Me PONT, un avocat qui en dit long « (site Le Mague).